Moi et ma nouvelle veste Gore-Tex Peak Performance – un duo qui, je l’espère, vivra encore de belles aventures…
C’est notamment à la Pentecôte que ma veste montre tout son potentiel. Je commence par me rendre à Davos au volant de mon bus afin d’examiner à la loupe les parcours du Gigathlon. Le temps est exécrable… ma veste est bien la seule à s’en réjouir. Par une température de cinq degrés à Davos, nous nous lançons en vélo de course sur le premier parcours, qui passe par le col de la Flüela. Ce qui n’est encore que de la bruine à l’aller se transforme en tourbillons de neige au retour, du moins à la hauteur du col. C’est la première fois que ma veste peut faire ses preuves. Descente avec une visibilité particulièrement mauvaise, un froid glacial et des chutes de neige qui se transforment rapidement en pluie torrentielle… La veste fait preuve d’incroyables propriétés coupe-vent, pas une goutte ne traverse et le haut de mon corps reste bien au chaud… Le col montant est très agréable et me protège des courants d’air et de la pluie qui me fouette le visage. De retour à Davos dans mon Combi, le séchage de la veste ne me prend que quelques secondes. Je la secoue un peu et la voilà prête pour de nouvelles aventures.
Après un petit footing, nous remontons sur notre vélo et prenons la direction du Strelapass. La montée raide me fait bien trop transpirer pour que je porte une veste. Cette dernière est dans mon sac à dos, car je sais qu’il fait extrêmement froid là-haut. Non seulement les températures ne cessent de baisser, mais la pluie s’est remise à tomber. Après un peu plus d’une heure de montée, la neige, qui n’a toujours pas fondu à cette altitude, nous force à rebrousser chemin. Une seule chose pourra me protéger dans la descente, et j’ai bien raison de m’y fier… Je sors rapidement la veste Gore-Tex Peak Performance de mon sac et j’attaque la descente. Une fois encore, je reste bien au chaud, à l’abri de l’eau, du vent et de la saleté que mon partenaire d’entraînement laisse dans son sillage.
La veste est nettoyée en deux temps trois mouvements. Passer un peu d’eau dessus, secouer et le tour est joué.
La veste Gore-Tex Peak Performance ne séduit pas uniquement grâce à son style et sa couleur. Elle semble aussi très robuste et satisfait à de multiples exigences, même dans les situations extrêmes. Je ne compte pas m’en séparer de sitôt. Vous découvrirez probablement de nouvelles aventures avec ma veste sur mes canaux de réseaux sociaux ainsi que sur mon blog (stevehusistein.ch)…
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